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Le Jugendamt en 4 minutes

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Published on Wednesday, 15 August 2018 00:00
Written by l'Association
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Couples binationaux : «La plupart des cas d’enfants dits volés sont franco-allemands»

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Published on Monday, 23 July 2018 19:20
Written by Le Parisien
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Article paru le 22/07/2018 dans Le Parisien.

Entre 2007 et 2018, le Parlement européen a reçu plus de 300 pétitions dénonçant les pratiques des tribunaux et du Jugendamt, l’Office allemand de la jeunesse. LP/Olivier Corsan

Entre 2007 et 2018, le Parlement européen a reçu plus de 300 pétitions dénonçant les pratiques des tribunaux et du Jugendamt, l’Office allemand de la jeunesse. LP/Olivier Corsan

Dans une tribune au Parisien - Aujourd’hui en France, trois parlementaires européens se mobilisent pour un meilleur traitement des affaires familiales.

Emmanuel Maurel (PS), Virginie Rozière (RG) et Edouard Martin (PS), parlementaires européens

Des centaines de nos compatriotes ont perdu la garde de leur enfant né d’une union franco-allemande, pour la seule raison qu’ils ne sont pas allemands. Les juridictions allemandes ont tendance à donner gain de cause à l’Allemand(e) qui dispute la garde de l’enfant à un(e) Français(e). Dans le cas d’un conflit transfrontalier, le verdict est le même : peu importe son lieu habituel de résidence, l’enfant issu d’un couple binational doit rester (ou retourner) sur le sol allemand, afin de protéger son « son intérêt supérieur ».

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Le combat de Rouennais pour faire revenir leurs enfants restés en Allemagne avec leur autre parent

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Published on Wednesday, 20 June 2018 00:17
Written by l'Association
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Article paru le 15/06/2018 dans le journal Paris Normandie.

La conférence de presse a réuni plusieurs eurodéputés (dont Édouard Martin, PS), parents et médias locaux

Combat. Tandis que l’association rouennaise Enfants otages continue d’aider les parents ayant perdu la garde de leur enfant, des eurodéputés tentent de faire du bruit médiatiquement.

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En direct de l'Europe. Garde d'enfants dans les divorces binationaux : le Parlement européen se mobilise

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Published on Tuesday, 19 June 2018 23:49
Written by l'Association
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Emission "En direct de l'Europe" sur Franceinfo, du 10 juin 2018, présenté par Anja Vogel.

En matière de garde d'enfants dans les divorces binationaux, les services de la jeunesse allemande sont particulièrement montrés du doigt, accusés de discrimination par la commission des pétitions du Parlement européen.

Face à une justice allemande, qui sous l'influence du Jugendamt (les services administratifs de la jeunesse) tranche quasi systématiquement en faveur du parent allemand, dans le but de maintenir l'enfant sur son territoire, la commission des pétitions du Parlement européen appelle les Etats membres et la Commission à prendre leur responsabilité.

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Conférence de presse sur le Jugendamt et le système familial allemand

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Published on Monday, 04 June 2018 23:51
Written by l'Association
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Comme annoncé, le 29 mai dernier, nous étions au Parlement européen à Strasbourg, pour participer à la conférence de presse organisée par le trio d’eurodéputés Virginie Rozière, Eleonora Evi et Edouard Martin.

Si Eleonora Evi et Edouard Martin sont maintenant à nos côtés depuis plusieurs années pour dénoncer le système allemand et l’hypocrisie des pays membres (dont la France) de l’UE, Virginie Rozière a rejoint le duo en janvier 2017, date de son entrée à la Commission des pétitions. Un mois après son arrivée, elle défendait Séverine Breit, cette jeune maman dont l’enfant a été littéralement volé par le juge allemand.

A signaler également la présence non négligeable de Zdzisław KRASNODĘBSKI (Pologne), vice-président du Parlement.

Cette conférence avait notamment pour but de mobiliser la presse et d’obtenir une couverture médiatique la plus large possible. Ce fut un succès et ce n’est pas fini, même si une fois encore, on ne peut que regretter de ne pas avoir pu bénéficier d’une couverture nationale.

Elle a également été pour nous l’occasion de nous rencontrer, nous les parents victimes, puisque nous ne communiquions jusqu’à cette date, que par téléphone ou Skype.

Nous avons également réalisé l’interview d’une dizaine de parents que nous publierons après montage.

Un grand merci à nos eurodéputés et à leurs assistants, Mathieu Laurent (Virginie Rozière), Maxime Herrmann (Edouard Martin) et Chiara Giuli (Eleonora Evi), mais également à Yacine EL LAOUI Mohamed, Nicolaida Khier-Koskina (Commission des pétitions) et à Carlo Diana (Fonctionnaire PE) pour leur gentillesse et leur disponibilité.

Enlèvement par le Jugendamt d’un enfant polonais dont la mère souffre d’une sciatique

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Published on Thursday, 14 December 2017 19:29
Written by L'Association - Traduction et sous-titrage en Français : Céline
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Le 8 septembre 2017, devait avoir lieu le procès concernant l’enlèvement d’un enfant polonais par le Jugendamt.

Les jeunes parents de cet enfant vivent en Allemagne.

Ce jour-là, une interview est réalisée chez eux, là où a eu lieu l’accident à l’origine de l’enlèvement.

Elle jouait avec lui lorsqu’une douleur lui coupa soudainement le souffle.

Cela fait plus de deux ans que leur enfant qui leur a été enlevé vit dans une famille d’accueil qui refuse tout contact avec les parents biologiques.

Ses fils en Allemagne, il se bat pour ses droits

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Published on Wednesday, 20 September 2017 22:47
Written by Éléonore Bohn
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Article publié le 15/09/2017 dans le quotidien Ouest-France

Fabien Le Coutey regrette le manque de soutien du gouvernement français. |

Fabien Le Coutey se heurte depuis dix ans à l'office de la jeunesse allemande. Ses deux fils, français, vivent en Allemagne avec leur mère.

Une semaine à Noël, trois semaines durant les vacances d'été, une semaine à Pâques et un couloir d'appel le mardi soir. Ainsi se résument les droits de père de Fabien Le Coutey. Ses deux garçons, français, nés à Vannes, âgés de 15 et 11 ans, vivent en Bavière avec leur mère.

Il n'imaginait pas, en 2007, lorsqu'il se sépare de sa femme, française, qu'elle referait sa vie en Allemagne. En août 2008, elle franchit le Rhin avec ses fils, âgés de 6 et 2 ans. Il porte plainte au commissariat pour enlèvement. « On m'a conseillé de monter une équipe pour aller chercher mes enfants », se souvient-il.

Un bras de fer s'engage entre les deux parties, pendant environ huit mois, jusqu'au moment où l'on diagnostique au père de Fabien Le Coutey, une grave maladie. Éprouvé et fragilisé, le Vannetais signe un accord en 2009, qui lui octroie dix semaines par an avec ses enfants. Une décision qu'il regrette car, une fois le divorce prononcé en 2010, il n'a plus d'outils juridiques à sa disposition.

« Aujourd'hui, mon fils me rejette »

La donne change début 2016. Fabien Le Coutey est convoqué devant la justice allemande, car son fils aîné, 15 ans, ne souhaite plus le voir. Chose possible outre-Rhin, si l'adolescent est dans sa quatorzième année. Obligé de se présenter, au risque d'essuyer une amende de 1 500 €, le Breton est incapable de comprendre ou de s'exprimer dans la langue de Goethe. Faute d'aide juridique française, à dix jours de l'audience, l'association Enfants otages lui indique un avocat français, Me Revel. Installé en Allemagne, il est spécialisé dans le droit des familles.

Devant le tribunal, en mai 2016, le père apprend que ses fils ont été entendus par le Jugendamt (Office de la jeunesse allemande). L'avocat des enfants parle de « manipulation », en désignant la mère et son conjoint. Mais la justice allemande estime qu'il y a « trop de périodes de vacances chez leur père ». Sur les six visites, il n'en reste plus que quatre. Et l'aîné accepte de venir à Noël et aux grandes vacances. Sauf que... « cela fait un an et demi que je ne l'ai pas vu, il n'est pas venu. Et refuse le dialogue depuis le début de l'année, relate Fabien Le Coutey. Aujourd'hui il me rejette. » Sa crainte est de voir le même scénario se répéter d'ici deux ans, avec son deuxième fils.

L'homme de 49 ans oscille entre incompréhension et colère. « C'est lamentable, il y a une complicité de l'État français, qui se laisse faire par l'Allemagne. » Son crédo aujourd'hui est de faire connaître son histoire, mais pas uniquement, celles aussi des autres, des parents avec qui il entretient des échanges quasi quotidiens, via l'association Enfants otages.

« J'arrête de me battre contre le système allemand. Les enfants sont protégés par les lois allemandes, mais protégés de quoi ? On est traité comme des criminels. »

Éléonore Bohn

Rapt d’enfant : quand le juge allemand passe à l’acte.

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Published on Saturday, 16 September 2017 19:46
Written by l'Association
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Décidément, dans ce domaine, les tribunaux allemands ne connaissent pas de limites et ne cesseront de nous surprendre, malheureusement…

Dans l’affaire de Séverine, le juge allemand du tribunal de Saarburg (Rhénanie-Palatinat) a vraiment dépassé les bornes. Non content d’organiser un rapt, il est aussi passé à l’acte en enlevant lui-même un enfant de 5 ans à sa mère.

En effet, rappelons qu’en Allemagne, lorsqu’un couple n’est pas marié, si la mère n’en a pas expressément décidé autrement, elle est seule détentrice de tous les droits parentaux sur son enfant. En cas de séparation, elle peut en toute légalité, refuser un droit de visite au père (ce n’est pas ce qu’a fait Séverine) et déménager avec son enfant, où bon lui semble.

En d’autres termes, si Séverine avait été allemande, le juge se serait purement et simplement déclaré incompétent et aurait rejeté la requête du père allemand qui demandait que l’enfant habite avec lui, puisqu’il n’avait aucun droit sur cet enfant.

Il a ensuite usé de son statut et de son autorité de juge pour intimider Séverine et la convoquer en lui demandant de se présenter à une audience de conciliation et d’amener son enfant avec elle.

Nul n’est besoin d’être devin pour savoir ce que le juge allemand a fait ensuite…

Profitons-en pour saluer l’intervention de l’eurodéputé Edouard Martin qui n’a pas utilisé la langue de bois pour répondre aux questions du journaliste du Républicain lorrain.

Républicain Lorrain

Rouen : quand le couple franco-allemand se déchire autour des enfants

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Published on Friday, 07 July 2017 23:51
Written by Boris MASLARD et Christophe HUBARD
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Article paru le 02/07/2017 dans le journal Paris Normandie.

Karine Bachelier n’a plus revu sa fille depuis un an et demi. Son ex-mari l’élève en Allemagne avec sa nouvelle femme et lui refuse ses droits de visite (photo Boris Maslard)

Depuis sa séparation avec son conjoint allemand, Karine Bachelier a progressivement perdu tous ses droits sur sa fille. Elle a fondé à Rouen, en 2011, l’association Enfants otages pour aider les parents confrontés à des situations similaires. Malgré des règlements européens, l’Allemagne se réserve le droit de refuser une décision de justice prise par un autre État membre concernant, par exemple, la garde des enfants.

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Les placements, le business des enfants

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Published on Friday, 14 April 2017 02:59
Written by l'Association
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Extrait de la conférence du 1er octobre 2016 : « Les placements, le business des enfants » organisée par la « Anti-Zensur-Koalition » (Suisse).

Intervenant : M. Richard Moritz, président de l’association allemande « Kinder sind Menschen » (Les enfants sont des personnes).

Le Jugendamt, LE parent germanique étatique DE DROIT

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Published on Friday, 31 March 2017 08:20
Written by l'Association
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D'un côté, un système violent, irrespectueux des droits de l'homme et de l'intérêt supérieur de l'enfant, de l'autre, des états plus soucieux de leurs bonnes relations avec l'Allemagne et l'Autriche que de leurs ressortissants.
Ce mini discours de notre juriste, spécialiste en droit de la famille, a été publié en Italie et s'adresse plus particulièrement aux italiens. Nous l'avons donc, avec son accord, légèrement modifié. Notamment, "italien" a été substitué par "non-allemand".

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  1. Karine, mère porteuse de l’Allemagne malgré elle ?
  2. Une méthode de travail du Jugendamt
  3. Appuyer l'audition de Mme Colombo au sein du groupe de travail sur le jugendamt
  4. Le cauchemar de Valérie

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